Nos missions
Les États et territoires insulaires du Pacifique sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique et ont des capacités d'adaptation très inégales, compte tenu de la diversité des situations géographiques, économiques et sociales. Ces territoires sont déjà exposés à une diversité d'aléas climatiques de grande ampleur (cyclones, montée du niveau marin, inondations, salinisation des nappes phréatiques, vagues de chaleur terrestres et marines) pouvant provoquer des dégâts considérables.
Face à ces risques, il est nécessaire pour ces territoires d'organiser une réponse cohérente et structurée en termes d'adaptation au changement climatique, c'est-à-dire de modifier les modes de faire et de vivre à travers l'élaboration de Plans nationaux d'adaptation. Le préalable pour réaliser ces stratégies : connaître avec détail, localement, le climat futur pour dresser le bilan des vulnérabilités. Or, certaines caractéristiques clés pour le climat futur, comme les précipitations moyennes, les températures et évènements climatiques extrêmes, ne sont pas bien connues. Des simulations climatiques plus fines, avec des échelles spatiales insulaires appropriées, sont indispensables.
Il s'agira de développer des projections climatiques haute et très haute résolution, utilisant pour la région Pacifique les derniers modèles de climat globaux qui permettent de simuler l'évolution du climat sur une zone géographique donnée. Les impacts clés du changement climatique sur des secteurs comme l'agriculture, l'accès à l'eau ou la santé pourront être étudiés pour ainsi mieux connaître les vulnérabilités liées au dérèglement climatique.
Les habitats marins du Parc du Grand Lagon Sud :
Ils comprennent plus de 60 îlots essentiels pour la reproduction et la nidification d'espèces telles que les tortues et les oiseaux marins, des mangroves couvrant une vaste étendue avec une diversité notable d'espèces de palétuviers, et des herbiers de phanérogames marines s'étendant sur près de 100 000 hectares et riches en biodiversité.La végétation des zones tampons terrestres :Sur l'Ile des Pins, les forêts et maquis du Pic N'Ga situés sur sol ultra-mafique côtoient des forêts sur sol calcaire et des formations littorales. Les formations du Pic N'Ga présentent un taux de micro-endémisme très élevé puisque douze espèces ne poussent que dans cette zone. La forêt humide sur sol calcaire abrite quelques 230 espèces dont la moitié sont endémiques. Classé Zone Clé de Biodiversité (ZCB), la zone tampon terrestre de l'Ile des Pins abrite vingt espèces menacées et est caractérisée par une diversité remarquable de formations végétales endémiques et indigènes.sur l'ile Ouen,une espèce micro-endémique que l'on pensait éteinte Mezoneuron ouenensis (considérée en « Danger critique d'extinction » a été redécouverte.
L'îlot Casy abrite une végétation diversifiée, dominée par la forêt humide, comprenant une forêt littorale dense, des pins colonnaires et des cycas, tandis que le maquis ligno-herbacé occupe une partie moindre de sa surface, principalement sur les parties supérieure et centrale, avec une forte présence d'espèces endémiques.
Points clés.
- Le Parc du Grand Lagon Sud est une zone protégée représentant 20% du bien UNESCO de Nouvelle-Calédonie. 123
- Le parc abrite une grande biodiversité marine avec des récifs coralliens diversifiés, des populations importantes de baleines à bosse, de dauphins et de tortues marines. 45
- La zone terrestre, notamment l'île des Pins, est également riche en biodiversité avec de nombreuses espèces endémiques de plantes et d'animaux.
- Parc du Grand Lagon Sud Nouvelle-calédonie,
- Ce site est inscrit au Patrimoine Mondial de l'Humanité de l'UNESCO. Couvrant 676 191 hectares, le parc du Grand Lagon Sud représente 20% de la surface du bien UNESCO calédonien et 0,2% de l'espace maritime de la Nouvelle-Calédonie. Cette zone a été retenue pour ses paysages exceptionnels, sa grande biodiversité, la présence d'espèces emblématiques (baleines, tortues, oiseaux marins, requins blancs) et l'existence d'aires marines protégées (la réserve naturelle intégrale Yves Merlet, l'Ilot Casy, la réserve naturelle saisonnière de Grand Port et la réserve naturelle de l'Aiguille de Prony).
La faune marine du Parc du Grand Lagon Sud :
Le Parc du Grand Lagon Sud regorge d'espèces marines emblématique rares ou menacés.Les récifs coralliens du Parc du Grand Lagon Sud, présentent une remarquable diversité géomorphologique avec 162 types de structures différentes.La population de baleines à bosse est estimée à plus de 1 000 individus à ce jour. Elles fréquentent principalement la zone entre le Cap N'Dua, l'île Ouen et le récif Gué. Plusieurs populations distinctes de dauphins de l'Indopacifique, dont été identifiées autour de la Grande Terre.Le Parc du Grand Lagon Sud abrite une population riche d'oiseaux marins, comprenant 180 000 couples reproducteurs, 14 espèces d'oiseaux marins nicheurs et une colonie exceptionnelle de puffins du Pacifique, ainsi qu'une diversité remarquable incluant des balbuzards, des faucons pèlerins, des mouettes argentées.Les tortues marines trouvent dans les eaux du Grand Lagon des sites majeurs de reproduction, où jusqu'à 30% des femelles tortues grosse tête viennent pondre durant l'été austral.La faune des zones tampons terrestres :La faune terrestre de l'île des Pins, en Nouvelle-Calédonie, comprend des espèces emblématiques telles que les bulimes, gastéropode emblématique de l'île des Pins. L'île des Pins est un site crucial à l'échelle planétaire pour la préservation des reptiles terrestres en raison de sa richesse spécifique, de son niveau d'endémisme élevé.
Le parc marin du Grand Lagon Sud (GLS). présentent un intérêt écologique et un intérêt éducatif, récréatif et culturel.
Les espèces emblématiques présentes dans le Parc du Grand Lagon Sud incluent :
- Baleines à bosse : Plus de 1 000 individus fréquentent la zone.
- Tortues marines : Notamment les tortues grosse tête, qui viennent pondre dans le parc.
- Oiseaux marins : Environ 180 000 couples reproducteurs, incluant des puffins du Pacifique, des balbuzards et des faucons pèlerins.
- Dauphins de l'Indopacifique : Plusieurs populations distinctes sont identifiées autour de la Grande Terre.
- Espèces de poissons et de coraux : Le parc présente une diversité géomorphologique avec 162 types de structures de récifs coralliens.
Ces espèces illustrent la richesse et la biodiversité exceptionnelles du parc.
Nouvelle-Calédonie et des lagons et zones protégées des DOM-TOM.
La surveillance qualitative et efficace de la faune sauvage revêt une grande importance pour la durabilité environnementale, la santé et la sécurité des animaux. Afin de préserver la flore et la faune, les spécialistes de les Gardiens Bleus Océan ont conçu le système de navire de surface robotisés drone capable de réaliser différents types de missions de surveillance de la faune. Le drone peut être utilisé pour surveiller efficacement de vastes zones, fournir des informations de localisation GPS et collecter des données pour aider à la surveillance de la faune. Le navire de surface robotisés drone de surveillance a un faible niveau de bruit qui n'effraie pas les animaux.
Le nombre de braconniers a considérablement augmenté ces dernières années. Le drone est capable d'identifier les braconniers et de retracer la position des animaux grâce à une liste de fonctionnalités telles que le suivi des objets en mouvement et la stabilisation vidéo.
Grâce à la synergie des logiciel notre solution permet une surveillance de la faune 24h/24 et 7j/7, même pendant la nuit. Le drone est une solution beaucoup plus sûre pour la surveillance de la faune par rapport aux véhicules aériens habités, car il n'y a pas de pilote impliqué. Le navire de surface robotisés drone peut surveiller des zones difficiles d'accès qui pourraient autrement être inaccessibles.
SURVEILLANCE
Élevez nos capacités de surveillance à des niveaux sans précédent grâce à une solution économique mais remarquablement polyvalente, conçue pour la surveillance, l'observation et le repérage : un système avancé de liaison descendante vidéo longue portée haute définition 4K à 3 axes. Idéal pour un large éventail d'applications, notamment la surveillance de la faune, les opérations de recherche, la conservation et les inspections, ce système de pointe garantit des performances optimales.
Le système est disponible pour la variante navire de surface robotisés drone amphibie, offrant une solution inégalée pour les opérations maritimes et les missions à bord des navires.
Nous servons les secteurs suivants : services publics, pipelines et lignes électriques, pétrole et gaz, faune et environnement, exploitation minière, inspection et surveillance, construction, actifs, arpentage, RVB, multispectral, NDVI, thermique, relevés multitemporels pour la détection des changements, estimations volumétriques, connaissance de la situation, cartographie des corridors et linéaire, cartographie des interventions d'urgence, surveillance de la glace, modèles de surface numériques.
Nous fournissons des solutions de bout en bout : orthophotographies numériques, orthophotographies radiométriques calibrées, photogrammétrie, Modèles Numériques de Terrain, NDVI, cartes thermiques, relevés vidéo.
– Maritime
– Géospatiale et topographie : haute précision et ingénierie
– Services publics, pétrole et gaz, lignes électriques
– Topographie
– Exploitation minière
– Construction : précision centimétrique, PPK, cartes 3D, MNT, orthomosaïques, photogrammétrie, nuages de points,
– Faune, écologie et environnement
– Inspection et surveillance
– Application de la loi, sécurité, recherche et détection
Parc naturel marin de Mayotte
Date de création : le 18 janvier 2010
Superficie : 68 381 km2
Les écosystèmes mahorais abritent une biodiversité exceptionnelle mais menacée : le lagon regorge de 760 espèces de poissons tropicaux, tortues, dugongs, raies manta ou encore de crabes blancs.
L'observation des mammifères marins étant en plein essor à Mayotte, un label de « tourisme bleu » soutenu par le Parc a été créé. Il vise à enseigner et promouvoir les pratiques de navigation qui permettent d'approcher les dauphins et baleines à bosse sans les perturber.
Parc naturel marin de Martinique
Date de création : le 5 mai 2017
Superficie : 48 900 km2
A la jonction de la mer des Caraïbes et de l'océan Atlantique, il abrite la totalité des habitats marins de Martinique : plages, mangroves, îlets, herbiers, récifs coralliens, habitats profonds et haute mer. On estime que 12 % des emplois de la Martinique se rapportent directement à l'environnement marin. Le parc marin naturel organise des opérations de ramassage des déchets en mer et sur les plages, baptisées Récup'Mer.
Le Sanctuaire Agoa aux Antilles
Baptisé du nom d'une divinité amérindienne, ce lieu a été créé en 2010 dans les eaux des Antilles françaises. Agoa est la deuxième aire marine protégée française en termes de superficie avec 143 256 km².
Plusieurs États participent à la mise en valeur et à la protection de ce site unique pour les mammifères marins. Des programmes scientifiques internationaux y sont menés pour identifier et mieux connaître les cétacés qui évoluent dans ces eaux.
Nos missions
Antilles
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Nouvelle-Calédonie
Océan Indien
Polynésie française
Saint-Pierre-et-Miquelon
Wallis-et-Futuna
Le Parc naturel marin de Martinique
Le Parc naturel marin de Mayotte
Le sanctuaire Agoa pour les mammifères marins
La solidarité interbassins
TeMeUm : un programme pour la biodiversité des Terres et Mers Ultramarines
Le programme BESTLIFE 2030
Le travail des Gardiens Bleus Océan sera en partenariat avec L'Association Clear-View-Sky-Drone et sera réalisé dans le cadre du projet AMBIO, « Aires Marines Protégées Biodiversité, Patrimoine Mondial », un projet de recherche de l'Unité de Recherche Lagons, Ecosystèmes et Aquaculture Durable de la Délégation IFREMER de Nouvelle-Calédonie.
Le projet sera financé par le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, le Conservatoire des Espaces Naturels de Nouvelle-Calédonie, la Province Nord, la Province Sud, la Province des Iles et l'IFREMER.
Il bénéficie d'un cofinancement du Ministère de l'Ecologie, du Développement Durable et de l'Energie.
Cette campagne à bénéficié du soutien du Service de la Marine Marchande et des Pêches Maritimes (SMMPM) du Gouvernement de la Nouvelle Calédonie et des fonds Européens de l'Union Européen.